Fureur Meurtrière
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L'histoire de Béruriers Noirs, l'anarchiste.

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Message par Rarax Lun 12 Déc - 21:25

[HRP] Voià, en ce moment je suis à fond dans cet Ecaflip dont le mode de jeu me comble de plus en plus de jour en jour. Smile
Avec son nom (trouvé de la manière suivante : c'est un Ecaflip FEU, donc la chanson Vive le Feu.... des Béruriers Noirs !), j'ai eu une idée assez rapide de son background que je vais ici passer à l'écrit. Voici donc une petite histoire pleine de références Rock And Rolleuses (mais les Furieux n'ont pas l'air d'être à fond dans le rock xD). Bonne lecture ! Wink [/HRP]


Chapitre I :

Béruriers c’est le nom qu’ont donné Sabbat et Désir Noirs, un couple de bardes itinérants, à leur fils à sa naissance en l’an 622. Béruriers vécut donc une enfance de voyage sur les routes avec ses parents. Tout ce qu’il savait lui était dû à ses parents et à ses rencontres au cours de ses voyages. Entre autres, il apprenait le chant, la poésie, la guitare, la harpe, la flûte, le violon et autres instruments sous la tutelle de ses parents dans l’espoir qu’il devienne lui aussi musicien.

Il vécut ainsi toute son enfance. C’est vers ses 16 ans que sa vie commença à changer. En effet, il supportait de moins en moins cette vie de voyages. Il voulait voir le monde de ses propres yeux, sans ses parents. C’est ainsi que sur un coup de tête il les quitta sans même leur demander leur accord. Il partit donc seul voyager quelques semaines pour finalement s’arrêter à Astrub. C’est ici qu’il fit la rencontre d’autres jeunes désœuvrés de son âge avec qui il traînait du matin au soir et du soir au matin. Et c’est également ici qu’il découvrit la misère dans la quelle vivait la population. Les alentours étaient aux mains des Bontariens. Ils perpétuaient sans scrupules la violence, la pauvreté et creusaient les inégalités. Béruriers n’avait que du dégoût pour ces êtres qui se disaient « défendre les intérêts de tous ».

Il apprît également que d’autres êtres combattaient les Bontariens. Ces Brâkmariens dont il avait bien évidement déjà entendu parler défendaient d’autres valeurs et voulaient réformer ce monde qui serait sous l’égide de Rushu et de ses démons.
Ces idées plaisaient à Béruriers dans le sens où elles voulaient instaurer un autre monde. Il alla donc à Brâkmar, abandonnant ses amis d’Astrub. Et c’est à Brâkmar qu’il fût frappé par la splendeur de cette cité et du sentiment de puissance qui s’en accompagne. C’est là également qu’il rencontra dans une taverne un groupe de bardes du mouvement dit « peunque » appelés « Les Tourmenteurs Sexuels » qui chantaient à tue-tête « anarchie en Amakna ! ». Leurs chansons parlaient de révolte, de changements… Tout ceci inspira fortement Béruriers qui décida de faire comme ses parents et de devenir barde itinérant. Mais ses chansons ne parleraient pas d’amour. Ses chansons ne parleraient pas d’héros, de princesses, de dragons… Non, ses chansons parleront de politique. Il y préconisera Brâkmar et rejettera Bonta.
C’est en cet an de grâce 638 que la carrière de Béruriers Noirs commença.

Chapitre II :

Béruriers voulait faire changer les mentalités. Il le faisait, du moins essayait de le faire, lors de ses prestations dans les tavernes, auberges, marchés… Il jouait une musique qualifiée comme étant violente. Il y exprimait ses idées sans ambages. Bien sûr, on le congédiait souvent des lieux où il jouait car sa musique gênait. Il est vrai que chanter « La jeunesse emmerde Bonta ! » dans les tavernes des territoires Bontariens n’était pas sans risques. Une fois, des gardes l’avait attaqué au beau milieu de sa prestation. Ils voulaient le faire taire par la mort et il ne dût sa vie que grâce à l’intervention d’une jeune Féca de passage qui l’avait défendu et tué les gardes. Béruriers et l’inconnue s’enfuirent de la taverne et partirent se cacher dans la forêt voisine.
- Eh ben, tu n’a peur de rien dis-donc toi… Comment t’appelles-tu ? Moi je me nomme Saxar, disciple de Brâkmar.
- Moi c’est Béruriers Noirs, merci de ton intervention. Sans toi je ne serais pas encore en vie.
- De rien. Visiblement on partage les mêmes idées politiques… M’enfin, quelle idée de combattre Bonta de cette manière… Surtout quand on ne sait pas se battre.
- Personnellement, je pense que la musique fait passer les idées tout aussi bien que les armes.
- Peut-être… En attendant, c’est idiot de se faire tuer car on ne sait pas se battre. Bon, je dois te laisser. Au fait, si rejoindre Brâkmar t’intéresse, contacte-moi, je fais partie d’une guilde Brâkmarienne du nom de « Fureur Meurtrière ».
- Je n’y manquerai pas, merci pour tout ! Au revoir !

Les dires de cette Saxar intriguèrent Béruriers Noirs. Certes, il aimait la musique, mais il est vrai que sans son intervention il serait mort à l’heure qu’il est. Il décida donc de devenir disciple d’un des douze dieux afin de pouvoir se battre mais il n’abandonnerait pas pour autant les arts. Il choisit Ecaflip. Il ne savait pas trop ce qui lui plaisait chez lui. Peut-être cette façon de voir les choses comme si tout n’était qu’un jeu de hasard ? Ce côté tout ou rien et radical ? Quoi qu’il en soit, il se réincarna en Ecaflip et resta à Incarnam le temps de maîtriser le sort Topkaj de l’élément qu’il avait choisi : le feu. Le feu, c’était sauvage. Il détruisait tout, il était violent mais sans lui on ne saurait survivre. On pense le maîtriser mais il fait toujours en sorte de nous rappeler que ce n’est pas le cas. Avec le feu, on peut détruire, montrer sa révolte… C’est dans cette optique qu’il écrivit sa célèbre chanson « Vive le Feu ».

Après s’être expérimenté un minimum à l’art de la guerre, il repartit en tournée. Mais cette fois-ci, il y irait avec plus d’entrain, plus de violence et non plus en se cachant des gardes. Il se regroupa avec d’autres bardes et groupes de bardes partageant les mêmes idées pour faire une série de concert partout dans le monde. Parmi ces groupes, il y avait Les Tourmenteurs Sexuels, Rage contre la Machine, Les Ramones, Jour Vert, Seum Quarante et Un, Le Résultat et Système d’une Panne. Il firent des concerts sauvages partout dans le monde. Ils arrivaient sur les places publiques, installaient leurs instruments et jouaient sans demander l’avis de quiconque. Ils allèrent jusqu’à jouer dans Bonta. Hélas, ces chiens de Bontariens ne respectaient nullement leur art et envoyèrent leurs troupes les faire taire par la manière forte. Les gardes accoururent sur la place du concert, se faufilant à travers les spectateurs et attaquèrent sans procès les musiciens. Ceux-ci n’eurent qu’à s’échapper ou à se battre, ils savaient que ça risquait d'arriver mais ils avaient quand même pris ce risque. Béruriers perdit beaucoup d’amis ce jour là.

Chapitre III :

Béruriers était dans une rage noire. Ces chiens avaient simplement massacré ses amis. C’est à ce jour qu’il comprit pour de bon que la musique ne suffirait pas. Il décida de changer de vie. Il jouerait le jour et tuerait la nuit, semant la mort parmi ces saletés d’anges. C’était la vie chaotique d’un artiste déchu et d’un être prit d’un dégoût profond de la vie. Il commença à toucher à la drogue et à trainer dans les endroits les plus sombres et malfamés d’Amakna. Finalement, un soir une Féca l’a retrouvé ivre mort sur le seuil d’un bordel et décida de le recueillir chez elle. A son réveil, Béruriers constata qu’il était à Brâkmar, allongé sur le lit d‘un dortoir. Il fut accueilli par ces mots :
- Maljour Béruriers Noirs. Vous vous souvenez de moi ? Je suis Saxar, on s’était rencontrés dans une taverne il y a 2 ans.
- Maljour ! Eh bien, vous êtes toujours là au bon moment on dirait…
- Oui. En fait, j’ai entendu parler de vous récemment. Vous êtes devenu célèbre, vous savez ? J’ai aussi eu vent de votre concert à Bonta. A partir de là, j’ai décidé de vous retrouver.
- Ben, bon travail, vous avez réussi.
- Oui. Vous savez, dans nos rangs nous avons extrêmement besoin de gens engagés comme vous. Vous souvenez-vous de la proposition que je vous ai faite ?
- Rejoindre une certaine guilde, Fureur Meurtrière ?….
Béruriers se leva d’un bond et s’écria :
- Ah ! Mais ça c’est une bonne idée ! Ces chiens de Bontariens m’entendront ! Comment on entre dans vos rangs ?

Béruriers postula donc pour rejoindre Fureur Meurtrière. Il fut prit mais on nota tout de même un défaut majeur : c’était un mauvais combattant. Du haut de son 31ème cercle, il faisait pâle figure. En fait, c’est grâce à sa dévotion envers Brâkmar que les Furieux l’ont pris. Toutefois, un chevalier Iop, un des premiers membres de la guilde, promit qu’il l’entrainerait et perfectionnerait son art du combat. Ce Iop se nommait Rarax. Il avait également formé Saxar avec qui il était marié.
C’est en ce Novamaire 641 que Béruriers Noirs rejoignit les rangs de Fureur Meurtrière. Son combat contre Bonta ne faisait que commencer…
Rarax
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Major Furieux
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Date d'inscription : 15/11/2010
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Localisation : Dans une sombre ruelle de Brâkmar.

Fiche Brâkmarienne
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